Gestion de l'arbre
Que pouvons nous réaliser ?
Élagage
Terme générique qui caractérise différentes opérations nécessaires au suivi du développement des arbres d’ornements, où l’on retrouve différents types de tailles :
taille de formation à port libre ou à port architecturé
taille d’entretien et/ou d’éclaircie
taille architecturée : en rideau, à tête de chat…
taille de réduction
lorsque la situation le permet, élagage se fait à l’aide d’une nacelle auto-portée ou automotrice. (Jusqu’à 22 mètres de hauteur).
Quelque soit vos besoins, nos techniciens « grimpeurs élagueurs » diplômés, formés aux différentes techniques, effectuent régulièrement déformations pour se perfectionner et travailler en sécurité, sauront réaliser vos travaux.
Abattage
Pour diverses raisons il peut être nécessaire, d’abattre un arbre.
Abattage en entier : Réalisé lorsque l’espace autour de l’arbre est suffisant et la surface du sol n’est pas fragile. L’arbre peut être treuillé avec notre tracteur forestier pour assurer le sens de la chute.
Abattage par démontage : Réalisé lorsque l’espace autour de l’arbre est réduit si le sol ne permet pas d’absorber les chocs, en présence d’obstacles (vérandas…) pour des très gros sujets, il nous arrive d’utiliser une grue.
Les branches atteignant 18 à 20 cm de diamètre, sont passées dans notre broyeur de branches et sont réduites en broyant le bois, servant de paillage.
Dessouchage
Suivant les contraintes,
deux techniques sont utilisées :
L’arrachage, à l’aide d’une dent de dessouchage, nous en possédons 2 : une grosse sur tractopelle ou pelle, une petite sur mini-pelle.
Le rabotage à l’aide d’une rogneuse ou grignoteuse de souches. Cette technique moderne de dessouchage présente plusieurs avantages. Elle permet de préserver l’environnement de la souche : les réseaux souterrains, le revêtement du sol, les bordures, les murs… Elle est écologique : l’évacuation des copeaux produit est facile, en centre de compostage par exemple ou bien mélangé à la terre lors de travaux de terrassement.
Transplantation
Réaliser avec une transplantateuse, elle permet de conserver des arbres voués à l’abattage en les replantant.
Il est fréquent qu’un jeune arbre ou qu’un arbuste ne se trouve pas à la bonne place. Cela arrive par exemple lorsqu’on s’est trompé lors de la plantation ou quand des travaux sont prévus dans les environs. Dans ces cas-là, mieux vaut essayer de déplacer l’arbuste plutôt que de le sacrifier.
Lutte contre les prédateurs
Avant toutes interventions il est nécessaire d’identifier le parasite et les contraintes environnementales. Nous utiliserons de préférence des techniques « bio » (gestion différentiée) comme exemple pour :
La mineuse du marronnier (cameraria ohridella):
Afin d’éviter une défoliation précoce nous utilisons des pièges à phéromones qui capturent les papillons mâles.
La chenille processionnaire du pin (Thaumetopoea pityocampa):
- L’éco piège, mis en place en février permet de capturer les chenilles lorsqu’elles descendent de l’arbre.
- Le piège à phéromone, mise en place début juin permet de capturer les papillons mâles.
- Coupe du cocon puis brûlage de celui-ci
- L’application de produits antiparasitaires, si elle est nécessaire, se fait en dernier recourt.
Haubanage
Pour corriger ou renforcer une partie faible d’un arbre : branche avec un gros déport, branche commençant à ce cisailler…
Nous pouvons installer un hauban souple
Dans certains cas de déracinement, si l’arbre n’est pas trop gros, il est possible de le redresser et de le replanter à l’aide d’une pelleteuse.
Puis il est haubané avec des câbles et tendeurs en acier inoxydables.
Quelques réalisations
